Ce sont les seuls polypes qui peuvent être considérés avec certitude comme ne dégénérant pas (aucun potentiel malin).

ce sont des pseudo-polypes qui s’observent à la phase de cicatrisation de poussées inflammatoires de colites ayant conduit à une ulcération épithéliale profonde

Un syndrome de polypes gastro-intestinaux non héréditaire associé à l'alopécie, à l'onychodystrophie et à l'hyperpigmentation cutanée et une entéropathie exsudative.

maladie genetique avec une transmission autosomiques dominantes avec des mutations dans SMAD4 ou BMPRA1, entraînant des polypes coliques hamartomateux fréquents.

secondaire à une mutation sur le gène PTEN. Les patients présentent des polypes hamartomateux sur la peau, la thyroïde, le grêle, le côlon, l’endomètre… les Kc du sein, de la thyroïde, de l’utérus sont les plus fréquents. La peau est très souvent touchée (papillomatose, kératose…)

transmission autosomique dominante, secondaire à une mutation sur le gène LKB1/STK11 (de novo dans 25% des cas). Les symptômes sont : polypes hamartomateux sur le grêle, le côlon et lentiginose péri-orificielle (bouche et anus). Les risques cancéreux portent sur le côlon, le grêle, le pancréas et les ovaires. À l’histologie, on retrouve un axe central fait d’une musculeuse de disposition arborisée recouverte par une muqueuse normale ou hyperplasique

Polypes non néoplasiques caractérisés par une croissance excessive de cellules normalement présentes dans un organe, mais qui désorganise sa structure normale.

Ils représentent 25 % des polypes coliques et sont généralement non néoplasiques.

des glandes allongées et des replis intra-luminaux donnant un aspect de dents de scie, le noyau est basal, le cytoplasme est abondant mucineux, la surface apicale a un aspect macropapillaire et la membrane basale est épaissie.